Le blog d'Hélène Bodenez 

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 14:08

zenitOSP

  L'agence internationale Zenit relaie ce 16 mai les encouragements de Benoît XVI à continuer de faire du dimanche le jour de repos hebdomadaire, jour des liens et des retrouvailles.

 

« À l'occasion de la Journée internationale des familles, qui a eu lieu hier, le 15 mai 2012, à l’initiative des Nations-Unies, sur le thème de l'équilibre entre « famille et travail », le pape a fait observer, lors de l'audience générale ce mercredi matin, 16 mai, que ces deux réalités sont « étroitement liées ». Le travail, a commenté le pape, ne devrait pas être une entrave pour la famille, mais il devrait plutôt « la soutenir et l’unir », l’aider à « s’ouvrir à la vie » et à « entrer en relation avec la société et avec l’Église ». Benoît XVI a souhaité à ce sujet que le dimanche « jour du Seigneur et Pâque de la semaine », soit un « jour de repos » et une « occasion de renforcer les liens familiaux ». Le pape aura l'occasion de développer ce thème lors de la VIIe Rencontre mondiale des familles (cf. à laquelle il participera à Milan les 1er-3 juin) : elle a en effet pour thème, en lien avec celui de cette journée mondiale, le rapport entre la famille, le travail et la fête. »

 

  De son côté, l’Observatoire sociopolitique (OSP) du diocèse de Fréjus-Toulon émet un communiqué de presse à la suite de la publication d’un article de Var-Matin titrant sur l’ouverture le dimanche des commerces non-alimentaires, « dans la totalité des quartiers de la ville ». Faut-il trouver là un signe de progrès ? Ce n’est pas l’avis de l’Observatoire qui avertit : 

 

« Ce jour reste pour nous un jour à part, où peut être si bien mise en relief la dignité de l’homme, sa capacité à s’ouvrir à Dieu et aux autres. La question n’est pas seulement de se lamenter parce que le supermarché ouvert le dimanche tend à devenir un temple et la consommation une religion. Le dimanche est pour nous un principe d’humanité et d’humanisation de la société. »

 

  À l’heure où l’ex-secrétaire d’État au commerce, Frédéric Lefebvre, publie un nouveau livre, Le travail aujourd’hui (Cherche-Midi, avril 2012) essayant de faire passer l’idée qu’autoriser de travailler le dimanche c’est sortir du dogmatisme, c'est être pragmatique, la nouvelle entorse toulonaise à ce noyau d’un ordre social historique prouve, s’il en était encore besoin, que la dérégulation de ce jour tout autre est plus que jamais en marche.  H.B.

   

  Hymne de la VIIe Rencontre mondiale des familles à Milan.

 

 

Oui au repos dominical ! Lp

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Published by Hélène BODENEZ - dans OUI AU REPOS DOMINICAL !
17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 14:00

"Lobet Gott in seinen Reichen" (Louez Dieu dans ses Royaumes), BWV 11.

« Oratorium In Festo Ascensionis » (Oratorio pour la fête de l'Ascension) composé à Leipzig en 1725.

Partition complète ici

 

 

7a Récitatif (Ténor, Basse)

Continuo

Und da sie ihm nachsahen gen Himmel fahren (Actes 1, 10-11)

 

Et alors qu'ils le regardaient monter au ciel,

Se tenaient près d'eux deux hommes en vêtements blancs, qui dirent aussi :

Vous, gens de Galilée, que faites-vous là debout à contempler le ciel ?

Ce même Jésus, qui vous est enlevé pour aller au ciel,

Reviendra comme vous l'avez vu monter au ciel. 

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Published by Hélène BODENEZ - dans L'ART CONTEMPLE LA BIBLE
17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 13:26

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Extrait "du Droit de Dieu", sur le site de l'Osservatore Romano, par Mgr Rino Fisichella.

 

"C’est une année pour nous tous, parce que sur l’éternel chemin de la foi nous sentons la nécessité d’accélérer le pas, parfois devenu lent et las, et de rendre notre témoignage plus incisif. Et ceux qui ont conscience de leur propre faiblesse, qui prend souvent les formes de l’indifférence et de l’agnosticisme, en vue de retrouver le sens perdu et comprendre la valeur d’appartenance à une communauté, véritable antidote à la stérilité de l’individualisme de notre époque, ne peuvent s’en sentir exclus."

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Published by Hélène BODENEZ - dans ÉGLISE - RELIGION ET SPIRITUALITÉ
16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 23:20

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Cité du Vatican, 15 mai 2012 (VIS).

 

Voici des extraits de la note du Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège, publiée ce matin :

 

  "Vendredi dernier, la Société Benetton a diffusé un communiqué...renouvelant ses regrets pour avoir heurté la sensibilité du Saint-Père et des catholiques, assurant le retrait de toutes les photographies de Benoît XVI de son circuit commercial, et garantissant ne plus utiliser l'image du Pape sans avoir consulté le Saint-Siège. La société fera en sorte que l'utilisation de ces photos par des tiers cesse, sur Internet notamment".

 

  Ce communiqué, écrit le P. Federico Lombardi, SJ, "signe la fin du contentieux sur la base d'un accord transitoire entre Benetton et les avocats du Saint-Siège... La Société Benetton reconnaît donc...que l'image du Pape doit être respectée... Le Saint-Siège n'a pas réclamé de dommages et intérêts mais a obtenu une réparation morale par la reconnaissance d'un abus, et voulu affirmer sa détermination à défendre l'image du Pape, y compris au plan légal. Plutôt que des dommages et intérêts, il a obtenu de Benetton une donation en faveur d'une oeuvre caritative de l'Église. Ainsi est-il mis fin...à un incident regrettable qui n'aurait jamais du se produire, et dont on espère qu'il servira de leçon".

 

Notes A propos de la campagne Unhate de Benetton "Sur le concept du visage du pape" (19 novembre 2011).

Piss Christ,, Golgota Picnic.

 

 


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Published by Hélène BODENEZ - dans ÉGLISE - RELIGION ET SPIRITUALITÉ
15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 08:59

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  Une bonne nouvelle ? Si l’on en croit les médias, Jean-Marc Ayrault est germanophile. Ancien professeur d’allemand, le nouveau Premier ministre de la France connaît bien la langue et la culture d’un pays qui protège le dimanche jusque dans sa constitution. Pour nos voisins européens, le dimanche est « jour d’élévation spirituelle ». L'article 139 de la WRV repris sous l'article 140 de la GG stipule :

Der Sonntag und die staatlich anerkannten Feiertage bleiben als Tage der Arbeitsruhe und der seelischen Erhebung gesetzlich geschützt. — Le dimanche et les jours fériés reconnus par l'État demeurent en tant que jours de repos et d'élévation spirituelle sous la protection de la Loi.

  Jean-Marc Ayrault, plus que tout autre, savait donc qu’empêcher le travail le dimanche ne contrariait pas la croissance, n’avait pas l’influence sur la consommation qu’on voulait faire croire pour imposer une loi inique ; le pays donné en modèle à la France, la RFA, n’était-il pas celui qui précisément avait, concernant ce jour tout autre, les contraintes de protection les plus sévères ? L’on se rappelle que le chef du groupe socialiste à l’Assemblée est toujours monté au créneau pour défendre avec force le repos dominical. Que ce soit au moment des débats de la loi Mallié en 2009 où tous les thèmes politiques chers au député de la Loire Atlantique sont présents, ou ensuite dans la bataille du toujours plus de dérogations, ce radical s’adresse au-delà de l'appartenance partisane, « aux femmes et aux hommes qui n'appartiennent pas à cette tradition de la gauche mais qui se réfèrent à la démocratie chrétienne »,

  Jean-Marc Ayrault est resté inflexible sur la question du dimanche chômé et sa récente prise de position avait agacé le gouvernement, notamment l’un de ses ministres Frédéric Lefebvre. Nicolas Sarkozy n’avait-il pas lui-même fustigé certains « maires qui, par dogmatisme (...) y compris à Noël vous empêchent d'être ouverts le dimanche » ? Noël tombait en 2011, comme le 1er de l’an 2012, un dimanche. Et l’un de ces maires, c’était le maire PS de Nantes, Jean-Marc Ayrault. Espérons que la ligne du nouveau Premier ministre soit toujours, sur cette question, la ligne du Président François Hollande. "Un impérieux devoir". H.B.

 

Extrait de la discussion du 7 juillet 2009 à l’Assemblée Nationale

 

« Le débat qui nous occupe est infiniment (…) profond » … « Nous sommes bien face à un choix de société qu’il nous faut trancher »

 

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues,

 

il y a quelques jours – Jean-François Copé vient d’y faire allusion –, je me suis adressé à chacune et à chacun d’entre vous par écrit. Je crois que, sur certains sujets, notre conception de la vie en société ne coïncide pas toujours avec les frontières habituelles qui délimitent majorité et opposition – en tout cas, je veux l’espérer.

 

Le débat qui nous occupe aujourd’hui n’est pas simplement technique et ne se limite pas à décider comment régler des exceptions plus ou moins larges à une règle qui demeurerait celle du repos dominical. Il est infiniment plus profond. Puisque vous voulez un débat, monsieur le président Copé, je vous dis : chiche ! Je vous donnerai donc mon point de vue, et je tenterai de resituer ce débat dans sa pleine dimension.

 

Comme l’a excellemment démontré M. Eckert ce matin, le texte qui nous est présenté constitue bien un changement de cap en ce qu’il généralise le travail le dimanche. Première évidence : dans sa rédaction, ce texte ouvre une brèche dans notre droit du travail. C’est Jean Leonetti, vice-président du groupe UMP, qui l’a implicitement reconnu en évoquant le flou de la loi et la nécessité de sécuriser et de délimiter les zones concernées. Cette situation n’est pas le fruit du hasard : si le Gouvernement avait pris ses responsabilités, mes chers collègues, il aurait déposé un projet de loi. Au lieu de cela, le texte nous est venu sous la forme d’une proposition de loi, ce qui a permis le contournement du dialogue social préalable – règle que vous aviez vous-même instituée.

 

Deuxième évidence : les engagements pris par M. Darcos sur le paiement des heures dominicales – engagements pris ici-même, monsieur le ministre – ne peuvent pas être tenus. C’est M. Méhaignerie, président de notre commission des affaires sociales, qui l’a reconnu avec honnêteté : il ne saurait être question du doublement des salaires pour tous les salariés du dimanche.

(…)

Oui, chers collègues, nous en parlons beaucoup ces temps-ci : le marché veut tout ! Tous les équilibres auxquels nous sommes parvenus à travers les siècles sont remis en cause. Aujourd’hui, le marché vous demande les dimanches ; hier, il vous a demandé la précarisation du salariat. Demain, c’est sur la vie elle-même qu’il cherchera à étendre son emprise. Le marché n’a pas d’autre objet que la rémunération de capitaux qui exigent un rendement, indépendamment de toute réalité humaine et sociale. Voilà ce qu’est le marché ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Dès lors, faut-il des règles et des protections ? Vous savez bien que le marché veut tout ; au contraire, nous voulons combattre le tout-marché – combat qui a structuré l’histoire du mouvement ouvrier. Puisque tout le monde se réclame désormais de Jean Jaurès, entendez sa voix qui a passé le siècle et qui vous adjure de ne pas renoncer à une grande loi qui, en 1906, a instauré le repos dominical obligatoire de vingt-quatre heures pour les ouvriers et les employés du commerce ! Aux femmes et aux hommes qui n'appartiennent pas à cette tradition de la gauche mais qui se réfèrent à la démocratie chrétienne, je veux rappeler que ce repos dominical ne fut pas la victoire de la seule CGT, mais qu’elle fut aussi la leur, puisqu’en 1880, une majorité a, par aveuglement anticlérical, abrogé la loi de 1814 qui permettait déjà de chômer le dimanche. C’est donc une loi de consensus national qui fut votée à l’époque, et qui fut une manière de protéger les travailleurs face au marché. Croyez-vous donc que les questions de l’époque étaient fondamentalement différentes de celles d’aujourd’hui ?

(…)

Enfin, s'agissant du droit au repos – et nous pourrions ajouter à une vie familiale, culturelle, citoyenne et spirituelle –, ce texte sur le travail dominical le contredit de manière éclatante. Il vient après d'autres dérégulations : suppression de certains repos compensateurs, explosion des plafonds contingentant les heures supplémentaires, tentative de porter la durée maximale hebdomadaire du travail à soixante-cinq heures, élargissement des forfaits jours et heures.

 

Mes chers collègues, le modèle social français et la référence au Conseil national de la Résistance sont au cœur du débat sur le repos dominical, lequel appartient à ce bloc de droits acquis au début du siècle dernier, puis lors du Front populaire et de la Libération. Au-delà des mots, je veux relever la contradiction entre le discours et la réalité. Ces règles forment un tout : le fameux modèle social auquel tous se réfèrent, mais que tous ne défendent pas avec la même intensité.

(…)

Le travail du dimanche, que le Président cherche à généraliser, est une liberté qu'il entend offrir à certains. Ainsi, quand il justifie l'ouverture dominicale par la nécessité de permettre à Mme Obama et ses filles de faire du shopping, il nous livre, par une forme de lapsus politique, ce qui guide sa volonté.

 

En effet, l'ouverture dominicale est un service rendu à une partie de la population active. Elle rend la vie de certains plus commode en leur permettant de choisir leur temps de consommation. Mais ce confort nouveau pour les uns a un prix : le labeur des autres ! Et, disons-nous les choses sans fausse pudeur, il s'agit du travail de personnes peu ou pas qualifiées dont la capacité à dire non est extrêmement réduite. Christian Eckert l’a remarquablement expliqué ce matin.

 

Cette césure entre deux mondes qui se côtoient sans se mélanger n'est pas acceptable pour un socialiste, pour un républicain, et c’est sans doute là notre différence. La généralisation du travail dominical accentue de fait la précarisation des conditions de travail des plus vulnérables, pour offrir plus de confort – je ne dis pas bien-être – à ceux qui n'auront jamais besoin de sacrifier leur vie privée pour trouver un emploi.

 

Le travail du dimanche sera sans aucun effet global sur la croissance et l'emploi. Les précaires n'auront pas davantage de travail, mais leur travail sera plus émietté, plus précaire.

(…)

 

Question au gouvernement le 30 juin 2009

Oui au repos dominical ! Lp

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 13:17

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Benoît XVI à la population de Sansepolcro, dimanche 13 mai 2012.

"Redécouvrir les racines chrétiennes"

Extrait

 

  "L'église abbatiale de votre ville est le point à partir duquel chacun peut orienter son chemin mais surtout sa vie, un lieu qui est un appel à regarder vers le Ciel, à se détacher de notre quotidien...en tendant continuellement vers les valeurs spirituelles et vers la communion avec Dieu, lequel ne nous détache pas du quotidien mais l'oriente et nous le fait vivre d'une façon encore plus intense.

Le goût de la recherche du vrai

  Cette perspective est valable encore aujourd'hui pour retrouver le goût de la recherche du vrai, pour percevoir la vie comme un chemin qui nous rapproche du vrai et du juste... Aujourd'hui, nous avons particulièrement besoin que le service de l'Eglise au monde s'exprime par des fidèles laïques éclairés, capables d'agir dans la ville avec une volonté de servir qui aille au-delà de l'intérêt personnel, au-delà des visions des parties.

Le bien commun compte plus que le bien de chacun

  Le bien commun compte plus que le bien de chacun, et les chrétiens doivent aussi contribuer à la naissance d'une nouvelle éthique publique... Les chrétiens, et surtout les jeunes, sont appelés à opposer au manque de confiance en l'engagement politique et social, l'engagement et l'amour pour la responsabilité, animés par la charité évangélique qui demande de ne pas se fermer sur soi-mêmes, mais de s'occuper des autres.

Le sel de l'honnêteté et de l'altruisme désintéressé

  Je renouvelle mon invitation aux jeunes de savoir penser grand : ayez le courage d'oser ! Soyez prêts à donner une nouvelle saveur à la société civile, avec le sel de l'honnêteté et de l'altruisme désintéressé".

 

VIS "Raviver la société" ici

NEWS Va ici

KTO TV ici (Texte sélectionné plus haut, curseur : 31'25 à 34'27)

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Published by Hélène BODENEZ - dans ÉGLISE - RELIGION ET SPIRITUALITÉ
13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 21:43

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"Le ciel, c'est le ciel du Seigneur ; aux hommes, il a donné la terre."

 

Psaume 113 B

1Non pas à nous, Seigneur, non pas à nous,
mais à ton nom, donne la gloire,
pour ton amour et ta vérité.

2Pourquoi les païens diraient-ils :
" Où donc est leur Dieu ? "

3Notre Dieu, il est au ciel ;
tout ce qu'il veut, il le fait.
4Leurs idoles : or et argent,
ouvrages de mains humaines.

5Elles ont une bouche et ne parlent pas,
des yeux et ne voient pas,
6des oreilles et n'entendent pas,
des narines et ne sentent pas.

7Leurs mains ne peuvent toucher,
leurs pieds ne peuvent marcher,
pas un son ne sort de leur gosier !

8Qu'ils deviennent comme elles,
tous ceux qui les font,
ceux qui mettent leur foi en elles.

9Israël, mets ta foi dans le Seigneur :
le secours, le bouclier, c'est lui !
10Famille d'Aaron, mets ta foi dans le Seigneur :
le secours, le bouclier, c'est lui !
11Vous qui le craignez, ayez foi dans le Seigneur :
le secours, le bouclier, c'est lui !

12Le Seigneur se souvient de nous : il bénira !
Il bénira la famille d'Israël,
il bénira la famille d'Aaron ;
13il bénira tous ceux qui craignent le Seigneur,
du plus grand au plus petit.

14Que le Seigneur multiplie ses bienfaits
pour vous et vos enfants !
15Soyez bénis par le Seigneur
qui a fait le ciel et la terre !
16Le ciel, c'est le ciel du Seigneur ;
aux hommes, il a donné la terre.

17Les morts ne louent pas le Seigneur,
ni ceux qui descendent au silence.
18Nous, les vivants, bénissons le Seigneur,
maintenant et pour les siècles des siècles !

 

Photo : H.B.

Barcelone, La Sagrada Familia, la croix de Gaudi (2012).

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Published by Hélène BODENEZ - dans OUI AU REPOS DOMINICAL !
13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 13:06

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Bien sûr, il y avait l’homme aux paillettes, l’homme-star entouré de ses clodettes ou de ses mannequins à demi nus, l’idolâtrie qu’il suscita auprès de fans hystériques, le sage madison des débuts oublié pour des transes fiévreuses. Il y eut Monte-Carlo, Saint-Tropez, Paris, le Royal Albert Hall à Londres. Il y eut Janet, France, Isabelle, Sophia et les autres, ce turn-over de femmes toutes désirées, toutes lassées de sa misogynie, de ses colères, de sa jalousie pathologique, de ses infidélités, de ses folies outrancières. « Cinglé », l’homme que les sirènes d'Alexandrie ont séduit pour toujours ? Non, il était plus que tout cela. Comme tous les hommes qui sont bien plus que la somme de leurs actes. C’est ce qui fait le succès du film Cloclo. Rien de ces clichés connus de tous dans la narration haletante de Florent-Emilio Siri, mais une juste biographie qui fait entrer dans le mystère d’une personne attachante malgré les zones d’ombre et les contradictions intérieures. Ici moins qu’ailleurs, les apparences sont trompeuses. Remarquable Jérémie Rénier !


Le geste fatal est là, dès le début. Maniaque, la main redresse déjà l’ampoule torsadée d’une lampe qui clignote dans la loge du chanteur. Insignifiant mouvement de main car l’heure est à la rencontre avec France Gall énamourée d’un Claude tout juste séparé de sa femme soufflée par Gilbert Bécaud. Tout paraissait plus lumineux que sombre dans ces débuts de vie ; pourtant le tragique du destin de Cloclo s’insinue, persistant. Le marc de café n’avait pas tout annoncé à la mama d’origine italienne, possédée par le jeu, croyant jusqu’au bout ce que lui avait dit la voyante sibylline : la vie de son fils serait écrite en lettres de feu. Feu oui, fulgurance aussi.


Grande réussite en tout cas qu’un film à la gloire d’un chanteur pour midinettes révélant un homme plus profond que ses chansons. Mieux, la vie de Cloclo jette du sens sur ses chansons qui paraissent subitement moins plates. « Je suis le mal-aimé », « Comme d’habitude » ou « Reste » émergent, phares, dans ces mélodies issues de drames personnels, d’amours résolument malheureuses, parlant à tous et faisant de lui le chanteur populaire de ces années soixante, soixante-dix.


Dans les yeux des fans à défaut d’être dans ceux du père


La formidable volonté de réussir est sans doute le grand axe du film, la clé d’une vie, force une certaine admiration, peut être même leçon. Elle dynamise tout dans le film, en particulier la quête d’un père qui n’a plus voulu parler au fils saltimbanque. Chez les François, en Égypte, dans la belle demeure flanquée de soleil, les jouets doivent être rangés, on travaille, on joue du violon, on mise sur l’éducation. Le jeune François voussoie son père, l’admire en aiguilleur de tankers dans le canal de Suez. Chez les François, on ne chante pas, on ne danse pas. Mais l’Histoire en a décidé autrement : l’exil, la pauvreté, la faim parfois obligent à des choix improbables, laissent également des traces indélébiles, « tout pouvant toujours, du jour au lendemain, être remis en question ».


La blessure du départ, de l’humiliation familiale, ne se refermera jamais, justifiera la course effrénée au succès ; ne plus mordre la poussière c’est pour l’homme aux soixante-huit millions de disques vendus se hisser à la première place et ne plus la quitter. Las ! Alors que Frank Sinatra le croise des yeux et semble ne pas le reconnaître, Claude n’ose pas l’aborder : il n’est « qu’un petit Français », « qui je suis, moi ? ». Il fut, contre les volontés paternelles, saltimbanque se laissant dévorer par la foule des admirateurs pour un seul qui ne le regardait plus. Rien n’a semblé résister à celui qui ne laissait aucun détail de côté. « Dieu est dans les détails ! » hurle-t-il de colère au jardinier qui n’aligne pas bien les fleurs au Moulin. S’est-il finalement pris pour Dieu dans sa course à la gloire ?


Les débuts, tout laborieux qu’ils furent, révèlent l’opiniâtreté exceptionnelle avec laquelle Claude François a fait de sa vie un destin, une aptitude hors pair à écouter les conseils pour s’adapter aux modes musicales. L'envie de lumière, celle que le jeune Claude avait approchée quasi parfaite en Égypte, le tenailla toujours, le poussera à se revêtir de paillettes, de ce faux des apparences crues, pâle reflet de la lumière tant aimée.


« Pour l’amour de mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs »


Mais en lui, le mal tenace fait son œuvre diabolique, le rongeant chaque jour un peu plus, le rendant invivable : la famille éclatée lui déchire le cœur. Les images finales, flashback poignant, voudraient justifier cette vie frénétique d‘hybris : Claude électrocuté sous la douche dans une scène hitchcockienne, plongeant dans la mort, n’est-il pas encore l’enfant en culotte courte rouge plongeant au bout de la jetée ? ou l’enfant dans les bras de son père ? Sur l’écorce de l’arbre en Égypte, quatre noms gravés : « Cloclo, Jojo, Lulu, Mémé ». Claude, Josette, Aimé, Lucia. Les enfants, les parents. Le temps des sourires tendres et du bonheur a fui trop vite. « On ne change pas, on met juste /Les costumes d'autres et voilà /On ne change pas, on ne cache /Qu'un instant de soi … On a  toujours un geste qui trahit qui l’on est » Ces paroles de Jean-Jacques Goldman pour Céline Dion n’ont jamais, dans le cas de Claude François, été aussi vraies. Le « marteau du courage », « cloche de la liberté » faisant tinter le « bonheur », nul doute qu’il a sonné des heures incandescentes et kitsches mais que Cloclo l’a tenu toute sa vie, désespérément. H.B.

 

Bande annonce du film 


 

Avis personnel : Pour adultes.

Interview de Jérémie Rénier sur Europe 1 ici.

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Published by Hélène BODENEZ - dans CINÉMA - MEDIAS - THÉÂTRE - MUSIQUE - PHOTOS
11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 22:02

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Qui faut-il croire ? France 2 qui, dans son journal télévisé de 20h du 10 mai (curseur à 11'14), se fondant sur un sondage BVA/Le Parisien de décembre 2011, révèle que 63% de Français seraient favorables au mariage des personnes de même sexe ou Europe 1 qui, dans sa question du jour le 10 mai toujours, obtient 18980 votes avec un résultat inverse ?

 

À la question de la radio généraliste, « Le mariage gay doit-il être rapidement légalisé en France ? », 30% des votants répondent oui, 62% répondent non, 8% sont sans opinion. Contre toute attente et en dépit de nombreux sondages, c'est donc un non massif qui l'emporte.

 

Il est dit un peu trop vite comme toujours que la majorité est pour. En tous les cas, une chose est sûre, les catholiques ne peuvent se taire et regarder passivement cette redéfinition du mariage se réaliser. Le dialogue d'Antigone et de Créon est sur le point d'être reconduit. Comme saint Jean-Baptiste à Hérode, il s'agit de dire : "Il ne t'est pas permis de l'épouser. "Le quotidien Libération se fait l'écho d’une fronde possible dans un article en ligne intitulé "Les catholique sur la voie du veto".

« Pour le moment, l’épiscopat français n’a pas fait de déclarations officielles. Mais, discrètement, il agite la menace de rétorsions assez inédites. Le message a été passé à quelques dirigeants socialistes dans le cadre de contacts informels. L’Église catholique pourrait entrer dans une forme de désobéissance républicaine. Actuellement, un mariage religieux ne peut être célébré que si les époux sont déjà mariés civilement. Parfois, cette obligation légale n’est plus respectée dans les milieux musulmans fondamentalistes. Les catholiques pourraient, eux aussi, passer outre ce lien entre mariage civil et mariage religieux. Juridiquement, l’affaire n’aurait pas d’incidences, si ce n’est pour les époux eux-mêmes. Mais, cette menace est symboliquement d’une rare portée, l’épiscopat s’affichant prête à entrer en dissidence avec la République. Le débat sous toutes ses formes s’annonce rude. Sans qu’il soit encore question de front des religions, l’Église catholique pourrait trouver des alliés parmi d’autres confessions. »

 


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Published by Hélène BODENEZ - dans LOI TAUBIRA - MARIAGE - PMA - GPA
9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 14:21

Natacha Polony annonce sur son blog du Figaro que le décret visant à une évaluation des enseignants par le chef d’établissement est mort-né [1]. Le motif de la guerre : l’évaluation ne relèverait que de la seule Inspection. Les syndicats hurleurs ont eu raison comme toujours de l’embryon de réforme avec la liberté des établissements scolaires dans le collimateur.

Il semble que l’unanimité syndicale pourtant n’ait pas été faite. La CFTC n’a-t-elle pas fait entendre une musique différente ? « La CFTC Éducation  n'est pas hostile à une remise à plat du système actuel de notation et de promotion car il est trop aléatoire et souvent injuste (inspections irrégulières, promotions inégales entre les disciplines). Fidèle à sa tradition de dialogue, la CFTC Éducation est ouverte à toute concertation sur le sujet. Une avancée permettant une modification du rôle des inspecteurs dans le sens “d'évaluations conseils” serait positive. »

Inspecteurs « associés à l’évaluation dans le cadre de leurs missions »

On voudrait nous faire croire que toute l’évaluation aurait été alors réalisée par le seul chef d’établissement ; cela n’aurait sans doute pas été équilibré. Mais à lire le décret de près, rien de plus faux, les inspecteurs restaient bien « associés à l’évaluation dans le cadre de leurs missions ». Extrait :

« Le décret modifie chaque statut particulier pour mettre fin au système de notation, au profit d'un dispositif d'appréciation de la valeur professionnelle fondé sur un entretien professionnel triennal. Cet entretien est conduit par le supérieur hiérarchique direct et donne lieu à un compte rendu qui peut faire l'objet d'une demande de révision. Pour les personnels exerçant des fonctions d'enseignement, d'éducation ou d'orientation relevant de l'enseignement scolaire, l'entretien est réalisé sur la base d'une autoévaluation, à l'élaboration et à la validation de laquelle les corps d'inspection sont pleinement associés dans le cadre de leurs missions.»

On voudrait nous faire croire encore qu’on « sortirait de la pratique républicaine ». Tels sont les propos rapportés de Thierry Cadart, le secrétaire général du Sgen-CFDT qui détiendrait donc le monopole de ce qui est républicain de ce qui ne le serait pas. Bien sûr, il y a derrière tout cela un épineux dossier, l’aptitude à évaluer les compétences à l’intérieur d’une discipline souvent technique, mais compétences qui ont été, faut-il le rappeler, déjà vérifiées lors de concours ou d’examens passés devant un personnel habilité à distribuer les grades. 

Chefs d'établissement "nommés" aptes à évaluer


On oublie malgré tout un peu vite qu’un inspecteur – et sans doute sont-ils une minorité mais là, la pratique républicaine n’a pas l’air d’être mise à mal, et un seul exemple suffirait – peut être nommé inspecteur général après avoir été nommé, par l’élévation magique de l'avancement au seul tour extérieur, agrégé. Simplement nommé. Il peut sans aucun concours, sans aucune vérification de compétences être propulsé à ce poste clé. La République n'est alors pas bien regardante sur ces petits arrangements qui ont cours depuis des lustres, ne s'offusque pas de ces nominations. On ne voit pas dès lors en quoi un chef d’établissement, du public comme du privé, ne pourrait pas, dans les mêmes conditions, être nommé apte à évaluer, pour une part, le corps enseignant qu’il voit chaque jour à l'œuvre dans son établissement. Pourquoi lui préfèrerait-on une fois, au mieux, tous les sept ans un inspecteur anonyme ?

 

On comprend bien la remise en cause annoncée de ce décret avec le retour des socialistes. Derrière son abrogation très symbolique, c'est l'autonomie des écoles et le renforcement de l'autorité du chef d'établissement qui sont visés. Adieu donc à une certaine conception de la liberté d'éducation ! Le pouvoir central de l'administration et l'éducation de type étatiste sont de retour...  H.B.


[1] Décret n° 2012-702 du 7 mai 2012, publié au JO le 8 mai 2012 « portant dispositions statutaires relatives à l'appréciation et à la reconnaissance de la valeur professionnelle de certains personnels enseignants, d'éducation et d'orientation relevant du ministre chargé de l'Éducation nationale ». 

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Published by Hélène BODENEZ - dans ÉDUCATION

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Hélène Bodenez
"Travail le dimanche : la loi Macron, une loi carnaval"

 

 

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"Ouvertures dominicales : ce que va changer la loi Macron"
"Travailler le dimanche : une trahison de la gauche"

 

 

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Article 18 de la Déclaration des Droits de l'Homme

"Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites."

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"La Voix est libre", émission du 8 novembre 2010 animée par Anne Gavini. "Comment redonner sa place au dimanche". Débat avec Monseigneur Lagleize, évêque de Valence. Hélène Bodenez, professeur à Saint-Louis de Gonzague-Franklin, Monseigneur Podvin, porte-parole de la Conférence des évêques de France. Par téléphone : Père Jacques Vignancour, curé de Saint Austremoine, à Issoires (Puy de Dome)

 


 

 

 

"Aujourd'hui l'Eglise", émission du 19 novembre 2008, animée par Elodie Chapelle. "Travail le dimanche : l'Eglise a son mot à dire" Débat  avec François Asselin et Hélène Bodenez.

 

 

 

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L'Association pour la Fondation de Service politique réunit des hommes et des femmes engagés dans la vie politique, économique et sociale. Elle est ouverte à tous ceux qui souhaitent participer à ses activités : colloques, conférences, universités, soirées-rencontres, campagnes de sensibilisation. De très nombreuses personnalités ont participé à ses travaux: chefs d'entreprise, cardinaux, universitaires, hommes politiques, journalistes.

14 juin 2011

The European Sunday Alliance is a network of national Sunday Alliances, trade unions, civil society organizations and religious communities committed to raise awareness of the unique value of synchronised free time for our European societies. Sunday and, more general, decent working hours, are the focus of our campaigns. In our Founding Statement, we draw attention to aspects of life/work-balance and social cohesion that depend on a vast majority of people to have their lawful free time at the same time.


Lancement de l'European Sunday Alliance, le 20 juin 2011 dont sont membres, entre autres, l'AFSP, la CFTC, le CAD.


 

CCF

Le centre culturel Franklin est inspiré par la tradition jésuite et permet de créer une synergie entre la formation intellectuelle, humaine et spirituelle dispensée aux élèves à Saint-Louis de Gonzague (Paris) et une certaine forme de formation continue destinée aux adultes de la communauté éducative. Ce que de manière traditionnelle, on appelait autrefois dans les collèges de la Compagnie : « école des parents », si non « école des adultes ». Le Centre culturel Franklin est ainsi un lieu de rencontres avec des personnalités uniques, un lieu de réflexion, un lieu d'échange et de débats.

Publications

 

51 Revue Rapport 03  Sexe-du-genre-Lp-55.jpg  Van-Thuan-revue-_-en-espagnol.png

 

- « Devoir des parents, bien de l'enfant », Francis Mouhot, Éduquer, est-ce encore possible ?, Les Idées, Revue Liberté politique, n° 60, (juin-juillet 2013), p. 157-158.

« Le Jésus de l’Histoire », À propos de Jean-Christian Petitfils, Jésus, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°56, Privat (mars 2012), p. 195-201.

- « La bataille du dimanche continue », Revue Liberté politique, IIIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 55  (décembre 2011), p. 115-119.

- « Lumière du pape », À propos de Lumière du monde, Questions disputées, Revue Liberté politique, n° 52, Privat (mars 2011), p. 155-161.

- « Le cas de l'année : la bataille du dimanche en France et en Europe  », Revue Liberté politique, IIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 50 (septembre 2010), p. 75-84.

- « La Battaglia sulla domenica in Francia », Rapporti dal Mondo, Osservatorio internazionale cardinale Van Thuan sulla dottrina sociale della chiesa, Bollettino di Dottrina sociale della Chiesa , (Anno VI 2010, numero 3, luglio-settembr), p. 87.  

  - « Le dimanche, un droit historique », À propos de Daniel Perron, Histoire du repos dominical, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°50, Privat (septembre 2010), p. 185-190.

 - « Une truculente défense du pape », À propos de Gaspard-Marie Janvier, Minutes pontificales sur le préservatif, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 49, Privat (juin 2010), p. 161-164.

- « Le dimanche, jour cardinal », Communication à la table ronde du 6 octobre 2009 "Vivement dimanche !" au Centre culturel de Franklin, Revue Liberté politique, n°. 47, Privat (décembre 2009), p. 23-31.

- « Voyage au cœur de la psychothérapie », À propos de Francis Mouhot, Le Moi et l’esprit, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 46, Privat (septembre 2009), p. 143-152.

- « Pourquoi le dimanche ? », Dossier "A Dieu, le dimanche ! Appel à la résistance des chrétiens", Revue Liberté politique, n°. 44, Privat (mars 2009), p. 107-116.

- « Benoît XVI le bâtisseur », À propos de George Weigel, Le Choix de la vérité, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 43, Privat (décembre 2008), p. 181-185.

- « Lâcher prise ou abandon spirituel », À propos de Robert Scholtus, Faut-il lâcher prise : splendeurs et misères de l’abandon spirituel, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat, (septembre 2008), p. 167-174.

- « Retrouver les chemins de l’être », Dossier Fides et Ratio 2008-1998, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat (septembre 2008), p. 153-163.

- « Les métamorphoses de Jésus ou la tentation de l’expérience directe », À propos de Frédéric Lenoir, Le Christ philosophe, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 41, Privat( juin 2008), p. 235-244.

- « Et le blog devint fléau », Éducation : questions qui fâchent, Revue Liberté politique, n°. 40, Privat (mars 2008), p. 147-157.

- « Conversion ou initiation : le presque de la foi », À propos de Jean-Claude Guillebaud, Comment je suis redevenu chrétien, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 38, Privat (septembre 2007), p. 125-131.

- « Relire La Pensée captive », À propos de Cesław Miłosz, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 32, Privat, (janvier-février 2006) p.129-141.

À lire absolument !

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Daniel Perron, Histoire du repos dominical (L'Harmattan, 2010).

 

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Gaspard-Marie Janvier, Le Dernier dimanche (Mille-et-une-nuits, 2009, Prix Mottard 2009). 

 

Froger2

Jean-François Froger, Le Maître du Shabbat (Editions Grégoriennes, 2009)

 

Gourrier2.png

Patrick Gourrier, Le dimanche, c'est sacré ! (Letheillieux, 2009)

 

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Michel Fauquier, Lettre ouverte du dernier des Français au premier des Français, (Tempora, 2009)

 

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Dimanche

Fonctions sociales d'un jour à part

Noyau d'un ordre social historique

Vidéos créées pour ce blog.

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Dimanche

 

 

 

À Dieu, le dimanche !

H. Bodenez

 

A Dieu le dimanche !

Mis en danger par la proposition de loi Mallié, le dimanche est moribond en France. Ce livre voudrait lancer un appel à la résistance des chrétiens. L'argument religieux n'étant pas le plus développé dans un débat essentiellement politique et social, Hélène Bodenez voudrait que ne soit pas minimisé le regard de foi de la vision théologique et de la vision mystique. Admettons-le : le dimanche s'est vidé depuis longtemps de son sens originel. Pourtant, si le culte du dimanche suppose bien la foi intérieure des chrétiens, il n'en est pas moins un rituel extérieur et collectif. En en retrouvant la voie, les chrétiens pourraient participer à la mission de la France dans l'Église.   Acheter à La Procure

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Joseph Thouvenel a lu  À Dieu, le dimanche ! Ed. grégoriennes) Chronique Economie et société sur Radio Notre-Dame, 12 décembre 2010.

 

 

Faut-il faciliter le travail le dimanche ?

 

KTO

    

Pourquoi le dimanche est-il un jour chômé ?

 

 

 

L'écho des dimanches

Duo Zucchero - Fiori, paroles françaises de J.-J. Goldman, (Chocabeck, 2010).

"Dans mon village, j'ai vu le temps se poser..."