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Je vous y attends plus fidèles qu'auparavant espérant que la navigation sera plus fluide. H.B.
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Ce n’est pas le moindre des paradoxes que de lire Richie de Raphaëlle Bacqué parallèlement aux débats agités de la réforme de Najat Vallaud Belkacem. Remarquablement rythmé, incisif en ses phrases courtes mais pleines, l’essai retrace brillamment la carrière de Richard Descoings mort à New York, un an après l'affaire Dominique Strauss-Kahn. Le titre éponyme brille force 7 d’un surnom donné par les étudiants de Sciences Po, institut dont le Conseiller d’État a été le directeur et surtout le réformateur ambivalent. Si vous aviez lu comme moi Les Strauss-Kahn, vous pensiez n’être pas complètement néophytes dans la connaissance des réseaux du pouvoir. Vue de l’esprit ! Vous n’aviez encore rien vu. Avec Richie, on atteint des sommets dans la compromission, les conflits d’intérêts, les collusions, le scandale pur et simple. Qui désormais pourrait être poursuivi en justice dans l’Éducation nationale tant les pratiques border line de Richard Descoings acceptées, louées par les plus hautes autorités, sauraient bien faire jurisprudence ?
On pourrait, bien sûr, être choqué par ces cooptations mystérieuses, ces appartenances aux réunions de l’ombre, ces nominations sorties du chapeau, ces lettres de complaisances, ces dîners où l’on « soigne sa carrière », par ces « courte-échelle pour grimper les échelons du pouvoir »… S’offusquer également de ces mœurs si débridées où voisinent subversion, drogues, ménage à trois, déniaisement et prostitution. Se heurter de ces contorsions inimaginables dans les sphères de la haute fonction publique pour faire valoir ou pour étouffer les scandales. Se froisser de cette vision de la réussite non plus fondée sur le diplôme mais sur cet « art consommé du camouflage ». Qu’à Sciences Po, nombre de professeurs soient maçons, « le plus souvent dans les loges libérales », admettons, même si là encore l’idée que soit squattée par un seul cercle idéologique l’école du pouvoir nous fait plus que tiquer bien entendu, nous afflige.
Refus du titre de gloire : « passionné d’éducation »
À la vérité, je sors en colère de ce livre pour d’autres raisons que celles-là. Le plus inadmissible dans ce portrait, où tout semble hélas si vrai, réside dans une expression revenant sans cesse et proférée par la bouche de plus éminents acteurs de la vie politique ou médiatique. Pour caractériser Richard Descoings, les mots de « passionné d’éducation » tombent en boucle. Comme la responsabilité de ceux qui ont vendu cela à la planète entière est énorme ! Suffirait-il pour être un « passionné d’éducation » de réformer Sciences Po en supprimant le concours d’entrée, en faisant entrer par la force des étudiants de ZEP leur faisant croire qu’il suffit de la devise démagogique « Ne renoncez à rien ! » ? N’avait-on donc rien de mieux à leur proposer, à ceux-là mêmes qui semblent plus fragiles, que ce praticien d’un système de faveurs, que ce gourou faiseur de « grâces et de disgrâces », que « ce fou », que ce type qui prétendait non seulement « nourrir les esprits mais aussi libérer le corps ? », repérant timides, provinciaux, et jeunes un peu gauches… Ces jeunes sur le dos desquels le directeur de Sciences Po se versait comme nombre du staff de Sciences Po primes et bonus de plusieurs centaines de milliers d’euros ? Quel négatif de Jean Bosco ou de Jean-Baptiste de La Salle !
Que n’a-t-on pas écrit au moment de la sortie du film Le cercle des poètes disparus où était stigmatisé par toute une presse donneuse de leçons, le professeur « enthousiaste » sortant de ses prérogatives et dérivant d’une forme de sobriété neutre ! Dans Richie c’est tout l’inverse adoubé, le portrait avance de démesures en provocations, de fautes graves en malversations, de chargés de mission surnommés « gitons » en professeurs à la botte. Mais rien n’arrive à Richard Descoings à part le coup d’arrêt d’une mort aussi fatale qu’accidentelle à New-York. Mieux : unanimité, louanges, décorations des puissants, et même, comble de l’indécence, il est à deux doigts d’être nommé ministre de l’éducation nationale par Nicolas Sarkozy, lui Richard Descoings ce « briseur de frontières » ! Jusqu’aux funérailles grandioses, avec messe et éloge funèbre de l’homme aux deux alliances. À ce titre l’ouverture du livre, tout en ironie subtile, brille éblouissante.
Le totalitarisme Descoings
« La loi, c’est moi », « je m’assieds sur les règlements », telles ont ces leitmotive transgressifs dont tout le monde, à commencer par les grands noms du monde politique, économique et culturel, s’est non seulement accommodé mais aussi félicité. Mon étonnement énorme est là : comment aucun parent d’élève ne s’est-il insurgé ? comment aucune association d’élèves se s’est-elle inquiétée ? Pourquoi a-t-il fallu attendre des ennuis pécuniaires et non les dysfonctionnements humains graves et patents pour qu’un audit soit lancé ? L’argent est-il donc plus important que la protection des jeunes ? Qu’on ne m’objecte pas qu’ils étaient majeurs ! Ils l’étaient depuis si peu de temps…
En fermant le livre, je repense à la réforme à venir, supprimant les classes bilangues, malmenant le latin et le grec. Je me demande alors si Najat Vallaud-Belkacem n'essaie pas à grande échelle ce que Richard Descoings a fait à petite échelle avec Sciences Po ; supprimer toute culture classique jugée discriminante comme il a supprimé le concours d’entrée. Le ministre de l’Éducation nationale n’essaie-t-elle pas de poursuivre cette Révolution française, que Vincent Peillon pensait n’être pas finie dans les esprits, en décapitant la tête des Humanités, ces disciplines jugées trop sélectives ? Le calendrier numérique ne va-t-il pas aider à ce suicide annoncé ? L’on retrouve en tout cas quelque chose du totalitarisme Descoings, de la « vraie » réforme de l’Éducation nationale qu’il espérait, dans ce qui semble arriver sûrement. C’est sans doute la leçon principale du livre que je tire, celle d’un pouvoir gay totalitarisme où le mécanisme de la pensée captive joue à plein ! H.B.
Communication Clic-P Comité de Liaison Intersyndical du Commerce de Paris
Loi Macron : la culture a bon dos !
Ce matin, le patron de La Fnac est un homme heureux : cette nuit, un amendement UMP à l'article 80 de la loi Macron a été voté par le Sénat autorisant l'ouverture dominicale permanente des commerces de biens culturels. Les sénateurs UMP et PS présents en séance ont voté pour, avec l'accord tacite de la commission en charge du texte et du gouvernement.
Les arguments fallacieux n’ont pas manqué pour justifier ce vote : les sénateurs en question ont eu beau jeu d’agiter la concurrence d’Amazon alors que, avec leurs sites marchands, La Fnac et d’autres enseignes similaires sont déjà sur ce créneau et font aussi l’impasse sur le fait que La Poste ne livre pas (encore) le dimanche. Un Sénateur a pourtant soulevé, à juste titre, qu'il suffirait de placer quelques livres à côté de légumes pour pouvoir ouvrir le dimanche... Le patron de Darty, qui proclame lui aussi haut et fort son appétit à ouvrir tous ses magasins le dimanche, ne manquera pas de rappeler qu’il vend lui aussi de l'électroménager tout comme le libraire La Fnac.
Après le blanc seing accordé au secteur du bricolage en dépit des recommandations du rapport Bailly, une majorité de sénateurs et le gouvernement rouvrent la boite de Pandore des dérogations sectorielles, en allant y compris à l’encontre de l’équilibre (fragile) vanté par le Ministre. Cet amendement est une preuve, s’il en fallait encore, que la Loi Macron vise à généraliser le travail du dimanche dans les commerces. Le CLIC-P s’oppose résolument à cette nouvelle attaque contre le repos dominical des salariés du commerce. Il appelle à participer massivement au rassemblement interprofessionnel prévu le 12 mai prochain à partir de 12 h devant le Sénat contre l’adoption de la loi Macron et redoublera ses actions jusqu’à son retrait…
Fait à Paris, le 5 mai 2015
Bruno Retailleau (UMP) est intervenu hier au Sénat à l'occasion de la discussion de la Loi Croissance et Activité, a parlé en son nom personnel non en tant que président de groupe. Le sénateur de Vendée redoute la banalisation du travail le dimanche pour des avantages incertains et virtuels ; l'ancien député ne se leurre pas avançant que les coûts seront quant à eux bien réels comme bien réels encore seront les effets collatéraux sur les petites entreprises.
Que signifie pour la société de créer toujours plus de travail le dimanche ? Pour Bruno Retailleau, rien moins qu'une remise en cause de l'idée de citoyenneté, toujours plus accentuée la fragilisation du lien social. La société ne saurait se réduire à une juxtaposition de producteurs et de consommateurs. Le dimanche, c'est un temps pour le civisme, c'est garder l'idée du don et de la gratuité ce jour-là : les sociétés en ont besoin aujourd'hui plus que jamais. Le président du conseil général de Vendée plaide, pour finir, qu'on ne laisse pas ainsi la main aux marchés si demain le processus initié aujourd'hui passe. Aux hommes de réguler les activités du marché !
Ce matin, invité de Stéphane Soumier sur BFM Business après que l'ouverture des douze dimanches par an a été validée dans la nuit, le sénateur a montré le danger de ces ouvertures de magasins.
En discussion au Sénat aujourd'hui 4 mai, le projet de loi pour la croissance et l'activité, dite Loi Macron, notamment en ces articles concernant le travail le dimanche et le travail de nuit. La collusion droite-gauche y est criante puisque les amendements qui cherchent à s'opposer à la généralisation des dérogations sont sytématiquement rejetés, et par la gauche gouvernementale et par les députés de droite comme M. Karoutchi par exemple. On ne cache même plus ses intentions lobbyistes. À preuve, l'UDI-UC Olivier Cadic déroulant le tapis rouge à M. Arnault (LVMH) en demandant que soit explicitement prévue dans les ZTI la zone de la future Samaritaine rénovée. Quand nous vous disions que le détricotage de ce haut modèle social et culturel historique qu'est le principe du repos dominical n'était réalisé que pour trois ou quatre très grandes enseignes ! On comprend dès lors la colère de Gérard Filoche qui a compris mieux que quiconque que le code du travail, "l'ordre public social protégeant les subordonnées", a vécu. Ci-dessus, pour rappel, M. Bayrou dans un exercice scandaleux de remise en cause du code du travail. H.B.
— Le blog d'H.B. ن (@Le_blog_d_HB) 4 Mai 2015
Une école de mission diocésaine à Montpellier, lance son appel aux jeunes apôtres grâce à un
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Le site officiel à ce lien www.capmissio.com
Sur les ondes de France culture ce samedi 2 mai, un Répliques d'Alain Finkielkraut autour de la Loi Clayes-Léonetti dite de fin de vie. Deux invités pour se pencher sur des cas particuliers. Emmanuèle Bernheim, romancière et scénariste, racontant l'assistance à la mort de son père en Suisse et plaidant pour "le droit de mourir non dans la dignité mais dans la liberté". Robert Moulias, professeur à Paris-VI et gériatre à l'hôpital Charles-Foix rappelant que le médecin est là pour soigner, analysant finement la révolte face à la dépendance et aux soins de l'intime, l'infantilisation voisinant parfois avec la maltraitance, mais refusant de comprendre le "désir de mourir". Au coeur de l'émission, la dépendance vue comme déchéance, l'accompagnement, la fin de la vie sociale des personnes. Alain Finkielkraut n'est pas neutre dans la discussion et penche du côté de Bernheim obsédé par ce qu'il nomme "bonne mort". "La perspective de vivre non pas très vieux, mais trop vieux, de devenir des nonagénaires déments, nous n'en voulons pas..." Si l'on statuait comme en Suisse, en Belgique ou comme dans l'état d'Oregon, "les risques de dérives l'emporteraient sur les bénéfices" tranche le Pr. Moulias refusant naturellement l'acharnement thérapeutique et revendiquant également sa "clause de conscience" de médecin. Très intéressante fin d'émission où le professeur de médecine insiste sur les progrès fulgurants à venir de la médecine et promet que la majorité des vieillards n'auront pas de syndromes démentiels.
Un échange emblématique à propos des syndromes démentiels : Alain Finkielkraut "Je sens qu'ils m'atteignent déjà". Emmanuèle Bernheim "Je vous aiderai" ! H.B.
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Pour aller plus loin
Jean-Frédéric Poisson, Personne ne doit mourir seul, Éd. Universitaires, 2015.
La date du 1er mai voit fatalement ressurgir les marronniers dans les médias avec leurs sempiternels sujets concernant le trop grand nombre de jours fériés et leur suppression de plus en plus probable. Certains sont prêts, y compris à l'intérieur de l'Église catholique, à négocier et même à troquer des jours fériés chrétiens contre des jours fériés issus d'autres religions.
Encore faudrait-il partir du bon pied... Non, la France ne détient pas le record du nombre de jours fériés, loin de là. Avec ses onze jours fériés, elle se place juste devant les États-Unis qui en fêtent dix ! Ci-dessous dans l'émission À La Source de KTO TV un débat mettant face à face Aymeric Pourbaix de Famille chrétienne et Isabelle de Gaulmyn de La Croix. Dommage qu'Étienne Neuville n'ait pas été là, lui qui a si bien sauvé le lundi de Pentecôte avec son CAL (Comité des Amis du lundi)... et continue de se battre pour nos cinquante-deux dimanches par an en péril. H.B.
Mise à jour 1er mai 16h10.
Les infographies se succèdent. Notons la façon de faire : le nombre de pays n'est pas le même dans les trois schémas (Celui du Parisien, du Figaro et le Blog d'HB), les conclusions tirées permettent de voir dans quel sens les rédactions entendent infléchir l'opinion, vers trop ou assez de jours fériés. Procédé grossier...
Non, les Français ne sont pas les plus privilégiés en matière de jours fériés >> http://t.co/dkbJrZwlVq pic.twitter.com/dHa1q7AzGU
— Le Figaro (@Le_Figaro) 30 Avril 2015
Avons-nous trop de jours fériés ? Notre dossier du jour à voir ici >>http://t.co/ZChWvhT6pN pic.twitter.com/lubnoSuklu
— Le Parisien (@le_Parisien) 30 Avril 2015
@Le_Figaro Quand l'infographie @le_Parisien manipule la place de la France dans le concert des Nations #joursfériés https://t.co/Ev7R0P3mxi
— Le blog d'H.B. ن (@Le_blog_d_HB) 1 Mai 2015
@Le_Figaro @le_Parisien Préfère cet autre schéma, où la France est à une place juste avec ses 11 #joursfériés http://t.co/YztQIe0YP3
— Le blog d'H.B. ن (@Le_blog_d_HB) 1 Mai 2015
Classement Teads
L'Association pour la Fondation de Service politique réunit des hommes et des femmes engagés dans la vie politique, économique et sociale. Elle est ouverte à tous ceux qui souhaitent participer à ses activités : colloques, conférences, universités, soirées-rencontres, campagnes de sensibilisation. De très nombreuses personnalités ont participé à ses travaux: chefs d'entreprise, cardinaux, universitaires, hommes politiques, journalistes.
Le centre culturel Franklin est inspiré par la tradition jésuite et permet de créer une synergie entre la formation intellectuelle, humaine et spirituelle dispensée aux élèves à Saint-Louis de Gonzague (Paris) et une certaine forme de formation continue destinée aux adultes de la communauté éducative. Ce que de manière traditionnelle, on appelait autrefois dans les collèges de la Compagnie : « école des parents », si non « école des adultes ». Le Centre culturel Franklin est ainsi un lieu de rencontres avec des personnalités uniques, un lieu de réflexion, un lieu d'échange et de débats.
- « Devoir des parents, bien de l'enfant », Francis Mouhot, Éduquer, est-ce encore possible ?, Les Idées, Revue Liberté
politique, n° 60, (juin-juillet 2013), p. 157-158.
- « Le Jésus de l’Histoire », À propos de Jean-Christian Petitfils, Jésus, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°56, Privat (mars 2012), p. 195-201.
- « La bataille du dimanche continue », Revue Liberté politique, IIIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 55 (décembre 2011), p. 115-119.
- « Lumière du pape », À propos de Lumière du monde, Questions disputées, Revue Liberté politique, n° 52, Privat (mars 2011), p. 155-161.
- « Le cas de l'année : la bataille du dimanche en France et en Europe », Revue Liberté politique, IIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 50 (septembre 2010), p. 75-84.
- « La Battaglia sulla domenica in Francia », Rapporti dal Mondo, Osservatorio internazionale cardinale Van Thuan sulla dottrina sociale della chiesa, Bollettino di Dottrina sociale della Chiesa , (Anno VI 2010, numero 3, luglio-settembr), p. 87.
- « Le dimanche, un droit historique », À propos de Daniel Perron, Histoire du repos dominical, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°50, Privat (septembre 2010), p. 185-190.
- « Une truculente défense du pape », À propos de Gaspard-Marie Janvier, Minutes pontificales sur le préservatif, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 49, Privat (juin 2010), p. 161-164.
- « Voyage au cœur de la psychothérapie », À propos de Francis Mouhot, Le Moi et l’esprit, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 46, Privat (septembre 2009), p. 143-152.
- « Benoît XVI le bâtisseur », À propos de George Weigel, Le Choix de la vérité, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 43, Privat (décembre 2008), p. 181-185.
- « Lâcher prise ou abandon spirituel », À propos de Robert Scholtus, Faut-il lâcher prise : splendeurs et misères de l’abandon spirituel, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat, (septembre 2008), p. 167-174.
- « Retrouver les chemins de l’être », Dossier Fides et Ratio 2008-1998, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat (septembre 2008), p. 153-163.
- « Les métamorphoses de Jésus ou la tentation de l’expérience directe », À propos de Frédéric Lenoir, Le Christ philosophe, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 41, Privat( juin 2008), p. 235-244.
- « Et le blog devint fléau », Éducation : questions qui fâchent, Revue Liberté politique, n°. 40, Privat (mars 2008), p. 147-157.
- « Conversion ou initiation : le presque de la foi », À propos de Jean-Claude Guillebaud, Comment je suis redevenu chrétien, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 38, Privat (septembre 2007), p. 125-131.
- « Relire La Pensée captive », À propos de Cesław Miłosz, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 32, Privat, (janvier-février 2006) p.129-141.
Daniel Perron, Histoire du repos dominical (L'Harmattan, 2010).
Gaspard-Marie Janvier, Le Dernier dimanche (Mille-et-une-nuits, 2009, Prix Mottard 2009).
Jean-François Froger, Le Maître du Shabbat (Editions Grégoriennes, 2009)
Patrick Gourrier, Le dimanche, c'est sacré ! (Letheillieux, 2009)
Michel Fauquier, Lettre ouverte du dernier des Français au premier des Français, (Tempora, 2009)
Fonctions sociales d'un jour à part
Noyau d'un ordre social historique
Version de la vidéo en anglais
Version de la vidéo en espagnol
Version de la vidéo en allemand
H. Bodenez
Mis en danger par la proposition de loi Mallié, le dimanche est moribond en France. Ce livre voudrait lancer un appel à la résistance des chrétiens. L'argument religieux n'étant pas le plus développé dans un débat essentiellement politique et social, Hélène Bodenez voudrait que ne soit pas minimisé le regard de foi de la vision théologique et de la vision mystique. Admettons-le : le dimanche s'est vidé depuis longtemps de son sens originel. Pourtant, si le culte du dimanche suppose bien la foi intérieure des chrétiens, il n'en est pas moins un rituel extérieur et collectif. En en retrouvant la voie, les chrétiens pourraient participer à la mission de la France dans l'Église. Acheter à La Procure
Duo Zucchero - Fiori, paroles françaises de J.-J. Goldman, (Chocabeck, 2010).
"Dans mon village, j'ai vu le temps se poser..."