Le blog-notes du 15 décembre 2014 - Ridicule, le repos dominical ? (A 3:40 sur le site de Radio Notre-Dame en réécoute).
Le blog-notes du 15 décembre 2014 - Ridicule, le repos dominical ? (A 3:40 sur le site de Radio Notre-Dame en réécoute).
Le blog-notes du 8 décembre 2014 - La crèche, combien de divisions ? (A 3:45 sur le site de radio Notre-Dame en réécoute).
L.D. : Le tribunal administratif de Nantes a donc ordonné que la crèche placée dans le hall du conseil général de Vendée soit enlevée. Cela fait réagir Hélène Bodenez du blog Raison garder. Vous parlez de coup de Jarnac. Comment l'interprétez-vous ?
H.B. Oui, un coup de Jarnac. Réponse du berger à la bergère après l’affaire de l’enlèvement du Tree de Mc Carthy Place Vendôme ? Peut-être, je ne sais. En tout cas, le coup de Jarnac, nous le savons, vient de la Libre pensée par la voix de son président vendéen Jean Regourd. D’une obédience dont la surface a l’air inversement proportionnelle à son pouvoir de nuisance ! Rappelons au passage que c’est cette même association qui est en guerre ouverte contre les subventions de l’État aux écoles privées catholiques. Il faut les écouter sur France culture le dimanche dans l’ennuyeuse émission Divers aspects de la culture contemporaine confiée en alternance aux différentes obédiences maçonniques et de libre pensée.
Beaucoup se sont déjà indignés de ce jugement de Nantes en prenant des axes divers, le multiculturalisme, le laïcisme faisant la peau à la laïcité. D'ailleurs Philippe de Villiers sera notre invité demain dans le Grand témoin. Il en parlera certainement. Et vous comment voyez-vous l’affaire ?
Jamais crèche n’a sans doute paru plus insupportable qu’en 2014 ! Jamais. Pourquoi ? Parce que la crèche chrétienne est un concentré d’humanité et que toutes ces obédiences soi-disant expertes en droits humains et en lecture symbolique savent y voir exactement ce qu’il faut y voir. Et elles fulminent.
Et qu’est-ce qu’il faut y voir alors ?
Un lieu pauvre de nourriture. La crèche chrétienne ? C’est le rappel annuel de l’événement de Bethléem il y a 2000 ans, « Beth – léem » « la maison du pain ».
Ceux qui ont lu Edith Stein savent surtout que plus loin que la crèche il y a la croix, que les langes figurent le suaire, que l’enfant dans la mangeoire figure le corps du Christ bientôt donné en nourriture, la vie donnée en abondance pour que l’homme ne meure pas. L’âne et le bœuf réunissent symboliquement les juifs et les gentils, mystère du Salut donné à tous. Les mystères indissociables de l’Incarnation et de la Rédemption y sont tout entiers profondément concentrés. Cette visibilité-là, donnée à contempler chaque mois de décembre jusqu’au 2 février, est aujourd’hui devenue par son message, intolérable.
Intolérable ? Pourquoi ?
Car nous sommes dans la société du mariage pour tous bien sûr voté avec soutiens occultes, nous le savons. Dans une société du genre qui s‘apprête quoi qu’elle dise à autoriser la PMA et la GPA, voilà qu’une antique représentation, celle de la Sainte Famille, vient exposer littéralement, presque guoguenardement pour ces gens-là, la persistance de l’humain vrai : un homme, une femme, un enfant. Voilà, Louis, le terrible ennemi de l’invisible Libre pensée ! La crèche, combien de divisions ?
Le blog-notes du 1er décembre 2014 - Le pape François à la Mosquée bleue d'Istanbul (Sur le site de RND à 4:35)
L.D. : Sur le voyage en Turquie avec cette image forte du pape déchaussé se recueillant aux côtés du grand muphti, que faut-il en penser ?
H.B. : L’attitude, un peu penchée et les mains jointes, diffère quelque peu de celle de Benoît XVI, en novembre 2006 visitant la grande Mosquée bleue. Qu’a fait le pape ? s’est-il recueilli, a-t-il prié, a-t-il adoré silencieusement comme l’a précisé le père Lombardi du service de presse du Vatican ? Dans l’avion qui le ramenait, le pape qui n’est pas venu en touriste a précisé qu’il avait prié : « J’ai ressenti le besoin de prier pour la Turquie, pour la paix, pour le mufti, pour tous, pour moi qui en ai besoin, j'ai vraiment prié. J'ai surtout prié pour la paix : ‘mais Seigneur, arrêtons là les guerres'. Ce fut un moment de prière sincère.»
Ces verbes employés par la presse sont-ils synonymes ?
« Se recueillir » c’est mobiliser son intériorité, son silence, se concentrer sur son être profond. Pas forcément religieux. « Prier » c’est plus que cela. Dans une attitude religieuse, on entre en relation avec le Dieu d’une religion particulière.
« Adorer », entrer dans l’adoration (qui n’est pas ici l’adoration eucharistique) est quant à elle l’attitude fondamentale de l’homme en tant que créature reliée à son Créateur « maître de ce qui existe ». « Adorer » c’est reconnaître qu’on est relatif à un plus grand que soi, qu’il est source de sa vie, qu’on lui doit son souffle de vie. Dans « adorer », il y a la racine os, oris la bouche en latin et la préposition ad, « Adorer » c’est une sorte de bouche à bouche de la créature avec son Créateur.
Quand le père Lombardi parle d’adoration silencieuse du pape François il met l’accent sur le fait qu’elle n’est donc pas d’abord confessionnelle ?
Certes. Elle est au-delà des religions, elle est primordiale, fondamentale et propre à tout homme. Elle est soumission de celui qui se reconnaît petit par rapport à un beaucoup plus grand que soi, envers qui je suis redevable de tout, à commencer par mon existence actuelle. L’adoration permet à l’homme de retrouver sa Source, d’entrer dans une attitude d’abandon, seule attitude menant à la paix intérieure et à la sécurité. Le Créateur est Celui qui protège et garde sa créature contre toutes les menaces.
Que le pape François ait rejoint le muphti par l’adoration et la prière est de bon augure pour un dialogue interreligieux urgent. Les temples de pierres cèdent le pas sur les temples de chair que sont les personnes du pape et du muphti.
Devant le danger que représentent les extrémistes fondamentalistes, n’est-ce pas le moment de trouver les bases d’un dialogue vrai et la possibilité de l’unité ? Comme l’exprime le Pape François aucune religion ne devrait justifier pour le nom de Dieu le primat de la violence, de la torture et de la haine. Les paroles du Pape invitent tous les musulmans à sortir de leur silence face à la cruauté (et le mot "cruauté" vient d'un verbe qui signifie "faire saigner", "faire couler le sang") à la cruauté des événements récents.
Le blog-notes du 27 octobre 2014 - La Toussaint, encore un jour férié ?
Les réécoutes et les podcasts dysfonctionnent sur radio Notre-Dame depuis deux semaines. Mon intervention complète ci-dessous par écrit.
L.D. La tentation de s’affranchir du temps, c’est à lire demain dans les pages de La Croix. Et l’on ne va pas s’affranchir du temps, du temps liturgique, celui de la Toussaint, grand temps liturgique de la fin de la semaine, avec Hélène Bodenez, du blog Raison garder. Samedi prochain, c’est la Toussaint, l’un de nos onze jours fériés, en péril dites-vous, dans une Europe qui voudrait liquider les fêtes chrétiennes.
H.B. Oui c’est fait, au Portugal par exemple. La source, c’est tout de même religieux. Fête dite d’obligation pour les catholiques, avec Noël, l’Ascension, et l’Assomption, la Toussaint a irrigué le tissu social d’une dimension très particulière jusqu’à ces dernières années pour se réduire désormais à la seule commémoration des morts dont on fleurit les tombes. Mais c’est tellement plus que cela la Toussaint.
Jean-Paul II dont nous venons de fêter pour la première fois ce 22 octobre la fête liturgique nous le rappelait sans cesse, nous rappelait à notre vocation ordinaire, universelle, celle de la sainteté.
Alors c’est un cortège de bienheureux...
Un cortège de bienheureux, « Église des premiers-nés [qui] nous attend, des saints [qui] nous désirent, des justes [qui] nous espèrent » (st Bernard). Une foule vivant de la « vision béatifique », vivant du mystère de la famille de Dieu. Toussaint « Fête de tous les Saints », fête où Dieu le Père fait vivre éternellement de ce qu’Il est. Ce qui est donné au Ciel, c’est de vivre du bonheur même de Dieu, d’être admis à la table de Dieu éternellement.
La Toussaint nous rappelle que le gouvernement de Dieu n’est pas un gouvernement aristocratique, pas davantage démocratique. C’est le gouvernement d’un père qui veut donner à ses enfants tout ce qu’il a en héritage : la plénitude de sa charité.
La Toussaint, vous dites qu’elle oriente donc notre regard vers l’horizon ultime. Vous estimez qu’aujourd’hui elle est en danger.
Oui,elle est en danger car au fond lorsque des préoccupations marchandes veulent faire ouvrir les magasins ce jour-là, elles participent d’un effacement tragique, celui de détourner l’homme de ce pour quoi il est fait. Quand des préoccupations matérialistes occupent toujours plus l’homme, que la fatigue du corps et les tensions l’usent, qu’il n’y a plus de possibilité de pause spirituelle, quel dernier jour l’homme se prépare donc-t-il ?
La Toussaint, communion avec ceux qui vivent le dimanche qui n'aura pas de fin, se dresse plus essentielle que jamais devant nous, Modernes oublieux de nos fins dernières. La France malmène son temps social. La France vend son dimanche après avoir tenté d'avorter de son lundi de Pentecôte. Et la Toussaint fête de l'espérance chrétienne, de l'approche humaine du deuil, continuera-t-elle d'être fériée ? La Toussaint s’inscrit dans « ce temps essentiel rythmé par le dimanche et les fêtes, temps historique qui avance vers les Noces de Dieu et du monde, de l'histoire et de l'univers, de la matière et de l'Esprit » comme le disait le cardinal Ratzinger.
Le blog-notes du 20 octobre 2014 - Dimanche, jour cardinal !
Par écrit, les réécoutes et les podcasts dysfonctionnant et tronquant mon intervention.
L.D. : Il y a le temps des vacances, mais aussi le temps du dimanche. Et, Hélène Bodenez, du blog Raison garder sait bien de quoi elle parle, le repos dominical qui est toujours d'actualité. Dans une conférence de presse mercredi dernier, le ministre de l’économie a pris dix minutes pour en parler justement. Pour dire quoi ?
H.B. Oui, et le vocabulaire employé en dit long sur la stratégie en cours. Logique d’assouplissement, de flexibilité. Le gouvernement veut faire passer qu’en donnant plus de liberté aux consommateurs on veut du bien aux salariés. Ironique inversion : c’est le repos du dimanche bien entendu qui célèbre l’homme libre. Voilà qu’on entend imposer que sa liberté, il la trouvera dans la consommation. Emmanuel Macron utilise les mêmes trucs lexicaux que ses prédécesseurs quand il affirme qu’il faut laisser « respirer les territoires » comme si un territoire ça respirait ! Le repos dominical est la « respiration » de l’homme dans la semaine de sept jours. Ne mélangeons pas tout.
Mais le principe est réaffirmé ?
Sans doute, mais c’est cosmétique. Leurre qui endort ceux qui ne veulent pas voir en face qu’on va vers la généralisation des dérogations avec une politique de petits pas. Les dominos des secteurs tombent, l’un entraîne l’autre.
Les sondages révèlent que les Français sont favorables à l’ouverture des magasins le dimanche ?
Souvent payés par les grandes enseignes. Sondages aux questions biaisées. La CFTC et Famille chrétienne en savent quelque chose quand pour le sondage commandé ils avaient dû en 2009 se battre pour poser leur question. À la question « Souhaitez-vous que les magasins ouvrent le dimanche ? » les Français répondraient donc par l’affirmative ». Comme si un magasin ouvrait ! Effacé le salarié qui l’ouvre ! Mais à la question « Vous, voudriez-vous, travailler le dimanche ? » Le non est massif. Les pro-ouverture du dimanche oublient vite la règle d’or de ne pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on leur fît.
C’est pas catho de défendre le dimanche dans une société laïcisée ?
Non, car l’on peut très bien comprendre que la dimension humaniste du dimanche s’est imposée avec ses bienfaits sociaux, culturels : dans les liens qu’on consolide en ce jour de rencontres, dans ce don qu’un jour de gratuité offre, dans la fortification du spirituel en nous. Dans notre société éclatée toucher au dimanche attaque le reste de son vivre-ensemble, de sa protection de la famille. Gond de la semaine, le dimanche est un jour cardinal.
Mais on permet un plus aux volontaires qui auront des compensations. Que répondre à la logique du "puisqu'on n'enlève rien" ?
Miroir aux alouettes encore. En Irlande, il n’y a plus de dimanche depuis longtemps. Le but de tout cela c’est d’arriver à créer la consommation du dimanche qui fera du dimanche à terme un jour comme un autre. Et puis si ! On enlève quelque chose : on vous concède encore le repos hebdomadaire, mais pas le repos dominical, soit le repos hebdomadaire donné un même jour, en même temps, pour tous. C’est sur cela que le travail le dimanche fait main basse, ce « en même temps » si précieux. H.B.
Le Royaume (P.O.L.) d'Emmanuel Carrère
Classement Teads
L'Association pour la Fondation de Service politique réunit des hommes et des femmes engagés dans la vie politique, économique et sociale. Elle est ouverte à tous ceux qui souhaitent participer à ses activités : colloques, conférences, universités, soirées-rencontres, campagnes de sensibilisation. De très nombreuses personnalités ont participé à ses travaux: chefs d'entreprise, cardinaux, universitaires, hommes politiques, journalistes.
Le centre culturel Franklin est inspiré par la tradition jésuite et permet de créer une synergie entre la formation intellectuelle, humaine et spirituelle dispensée aux élèves à Saint-Louis de Gonzague (Paris) et une certaine forme de formation continue destinée aux adultes de la communauté éducative. Ce que de manière traditionnelle, on appelait autrefois dans les collèges de la Compagnie : « école des parents », si non « école des adultes ». Le Centre culturel Franklin est ainsi un lieu de rencontres avec des personnalités uniques, un lieu de réflexion, un lieu d'échange et de débats.
- « Devoir des parents, bien de l'enfant », Francis Mouhot, Éduquer, est-ce encore possible ?, Les Idées, Revue Liberté
politique, n° 60, (juin-juillet 2013), p. 157-158.
- « Le Jésus de l’Histoire », À propos de Jean-Christian Petitfils, Jésus, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°56, Privat (mars 2012), p. 195-201.
- « La bataille du dimanche continue », Revue Liberté politique, IIIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 55 (décembre 2011), p. 115-119.
- « Lumière du pape », À propos de Lumière du monde, Questions disputées, Revue Liberté politique, n° 52, Privat (mars 2011), p. 155-161.
- « Le cas de l'année : la bataille du dimanche en France et en Europe », Revue Liberté politique, IIe Rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde, n° 50 (septembre 2010), p. 75-84.
- « La Battaglia sulla domenica in Francia », Rapporti dal Mondo, Osservatorio internazionale cardinale Van Thuan sulla dottrina sociale della chiesa, Bollettino di Dottrina sociale della Chiesa , (Anno VI 2010, numero 3, luglio-settembr), p. 87.
- « Le dimanche, un droit historique », À propos de Daniel Perron, Histoire du repos dominical, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°50, Privat (septembre 2010), p. 185-190.
- « Une truculente défense du pape », À propos de Gaspard-Marie Janvier, Minutes pontificales sur le préservatif, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 49, Privat (juin 2010), p. 161-164.
- « Voyage au cœur de la psychothérapie », À propos de Francis Mouhot, Le Moi et l’esprit, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 46, Privat (septembre 2009), p. 143-152.
- « Benoît XVI le bâtisseur », À propos de George Weigel, Le Choix de la vérité, Questions disputées, Revue Liberté politique, n. 43, Privat (décembre 2008), p. 181-185.
- « Lâcher prise ou abandon spirituel », À propos de Robert Scholtus, Faut-il lâcher prise : splendeurs et misères de l’abandon spirituel, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat, (septembre 2008), p. 167-174.
- « Retrouver les chemins de l’être », Dossier Fides et Ratio 2008-1998, Revue Liberté politique, n°. 42, Privat (septembre 2008), p. 153-163.
- « Les métamorphoses de Jésus ou la tentation de l’expérience directe », À propos de Frédéric Lenoir, Le Christ philosophe, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 41, Privat( juin 2008), p. 235-244.
- « Et le blog devint fléau », Éducation : questions qui fâchent, Revue Liberté politique, n°. 40, Privat (mars 2008), p. 147-157.
- « Conversion ou initiation : le presque de la foi », À propos de Jean-Claude Guillebaud, Comment je suis redevenu chrétien, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 38, Privat (septembre 2007), p. 125-131.
- « Relire La Pensée captive », À propos de Cesław Miłosz, Questions disputées, Revue Liberté politique, n°. 32, Privat, (janvier-février 2006) p.129-141.
Daniel Perron, Histoire du repos dominical (L'Harmattan, 2010).
Gaspard-Marie Janvier, Le Dernier dimanche (Mille-et-une-nuits, 2009, Prix Mottard 2009).
Jean-François Froger, Le Maître du Shabbat (Editions Grégoriennes, 2009)
Patrick Gourrier, Le dimanche, c'est sacré ! (Letheillieux, 2009)
Michel Fauquier, Lettre ouverte du dernier des Français au premier des Français, (Tempora, 2009)
Fonctions sociales d'un jour à part
Noyau d'un ordre social historique
Version de la vidéo en anglais
Version de la vidéo en espagnol
Version de la vidéo en allemand
H. Bodenez
Mis en danger par la proposition de loi Mallié, le dimanche est moribond en France. Ce livre voudrait lancer un appel à la résistance des chrétiens. L'argument religieux n'étant pas le plus développé dans un débat essentiellement politique et social, Hélène Bodenez voudrait que ne soit pas minimisé le regard de foi de la vision théologique et de la vision mystique. Admettons-le : le dimanche s'est vidé depuis longtemps de son sens originel. Pourtant, si le culte du dimanche suppose bien la foi intérieure des chrétiens, il n'en est pas moins un rituel extérieur et collectif. En en retrouvant la voie, les chrétiens pourraient participer à la mission de la France dans l'Église. Acheter à La Procure
Duo Zucchero - Fiori, paroles françaises de J.-J. Goldman, (Chocabeck, 2010).
"Dans mon village, j'ai vu le temps se poser..."